La grande Korkhorn Makadia

Suite à la mort tragique de Khibakam Hybachire, il fallait trouver un remplaçant pour occuper le poste vaccant de Korkhorn. Tout les regards se tournèrent vers la belle Makadia, une makadok pâlette qui était reconnue pour sa sagesse. Elle ne venait pas d'une illustre lignée, comme sa prédécesseure, mais d'une famille bien normale de bardes. Or, ses paroles et son énergie étaient toujours apaisants et encourageants, ce qui faisait d'elle la personne toute désignée pour s'occuper du peuple.

Bien que bien jolie, sage et protectrice, la douce Makadia avait un secret qui la rongeait depuis plusieurs années. Cette makadok à l'instinc maternel très fort ne pouvais pas avoir d'enfant; elle était stérile. Cela déçu bien des makadoks... Une Korkhorn aussi parfaite qui ne pourrait pas laisser de rejeton, c'était assez dommage. Mais personne ne pouvais être plus triste que Makadia. Un beau jour, elle réunit quelques makadoks, et elle leur fit un discourt qui es à ce jour encore comémoré chez les makadoks :

"Mes wutanuks makudoks, mes frùres, mes fuls.
Moi, Makadia, nu peut horr uvoir de bébé mukudok, alors, ju vous dumande cuci : Uxceptez-vous d'ûtre mes unfants ?"

C'est une foule de makadoks heureux qui applaudit ce jour-là la surnommée "mère des makadoks". Depuis ce jour, elle veille sur Haulûk et sur les gentils mammifères telle une mère aimante et dévouée, et ainsi, elle ne pleura plus jamais son infertilité. On dit d'elle que c'est la mère et la makadok parfaite. Celon une légende répendue, les anciènnes mère et les sages ancêtres défunts auraient été s'amalgammer à l'esprit de la pâlette bovidée pour que le peuple connaîsse à nouveau le pouvoir ancien des sages Korkhorns de jadis.